- EAN13
- 9782848764511
- ISBN
- 978-2-84876-451-1
- Éditeur
- Philippe Rey
- Date de publication
- 07/05/2015
- Collection
- Littérature française
- Nombre de pages
- 352
- Dimensions
- 22 x 14,7 x 2,2 cm
- Poids
- 424 g
- Langue
- français
- Langue d'origine
- français
- Fiches UNIMARC
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Elle révolutionna la danse, connut un succès mondial, électrisa les audiences, inspira les plus célèbres artistes qui tentèrent de capter son éclat singulier.
Mais comment imaginer une telle gloire attendait Isadora Duncan, née en 1877 à San Francisco dans une famille de quatre enfants, abandonnée par le père ruiné, élevée par un mère bohème et pianiste ? Après des années de faim et de misère à travers les Etats-Unis, Isadora, 22 ans, persuade les siens de la suivre en Europe : à Londres puis à Paris où, en deux années, elle obtient la renommée à laquelle elle se savait destinée. Avec grâce et détermination, elle bouleverse tous les codes de son art, s’affranchit de la danse de ballet, redonne sa place à l’harmonie du geste et à la beauté du corps. Un corps qu’elle offre à tous les regards, quasi nu sous les tuniques et voiles légers.
D’une écriture fiévreuse, le roman de Caroline Deyns raconte le destin hors norme d’Isadora : sa force de caractère, ses amours – nombreuses et mouvementées –, ses enfants, ses triomphes, les écoles qu’elle fonda, son engagement aux côtés de la révolution bolchévique, ses années d’errance, sa mort tragique à Nice qui stupéfia le monde entier…
L’histoire d’une énergie, d’une femme fascinante pour qui la vie n’était qu’une danse. Qu’elle exécuta magistralement, libre et entière.
« Si les hommes la désirent, c’est par curiosité. Car que peut donner sous les baisers une telle femme, si jeune, saine et vive, une femme qui récite de tête des poèmes entiers de Walt Whitman et refuse de porter le corset, qui débarque d’Amérique et ne tarit pas sur la Grèce Antique, qui danse en tunique transparente, pieds nus et couronnée de fleurs, parcourue d’ondulations frissonnantes comme une vague prête à mourir à leurs pieds ? »
Mais comment imaginer une telle gloire attendait Isadora Duncan, née en 1877 à San Francisco dans une famille de quatre enfants, abandonnée par le père ruiné, élevée par un mère bohème et pianiste ? Après des années de faim et de misère à travers les Etats-Unis, Isadora, 22 ans, persuade les siens de la suivre en Europe : à Londres puis à Paris où, en deux années, elle obtient la renommée à laquelle elle se savait destinée. Avec grâce et détermination, elle bouleverse tous les codes de son art, s’affranchit de la danse de ballet, redonne sa place à l’harmonie du geste et à la beauté du corps. Un corps qu’elle offre à tous les regards, quasi nu sous les tuniques et voiles légers.
D’une écriture fiévreuse, le roman de Caroline Deyns raconte le destin hors norme d’Isadora : sa force de caractère, ses amours – nombreuses et mouvementées –, ses enfants, ses triomphes, les écoles qu’elle fonda, son engagement aux côtés de la révolution bolchévique, ses années d’errance, sa mort tragique à Nice qui stupéfia le monde entier…
L’histoire d’une énergie, d’une femme fascinante pour qui la vie n’était qu’une danse. Qu’elle exécuta magistralement, libre et entière.
« Si les hommes la désirent, c’est par curiosité. Car que peut donner sous les baisers une telle femme, si jeune, saine et vive, une femme qui récite de tête des poèmes entiers de Walt Whitman et refuse de porter le corset, qui débarque d’Amérique et ne tarit pas sur la Grèce Antique, qui danse en tunique transparente, pieds nus et couronnée de fleurs, parcourue d’ondulations frissonnantes comme une vague prête à mourir à leurs pieds ? »
Commentaires des lecteurs
danse
Quelle vie que celle de cette artiste hors norme qui danse pieds nus, juste vêtue d’un voile. Sans chaussons, sans tutu, sans pas codés ; libre. L’auteure nous donne à voir une enfant puis une femme ivre de vie, qui ...
Lire la suiteD'Isadora Duncan , on connaît généralement celle qui révolutionna la danse en la débarrassant d'une technicité rigide mais en lui apportant de la spontanéité, ou encore celle dont l'existence sera brisée par le châle qu'elle portait au cou, piégé sous ...
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