- EAN13
- 9782213675749
- Éditeur
- Fayard
- Date de publication
- 02/05/2013
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
Autre version disponible
-
Papier - Fayard 17,00
Quand Benjamin Cooker et Virgile débarquent sur les terres pontificales de
Châteauneuf, cela fait plus d’une semaine que le mistral assèche la vigne et
échauffe les esprits. La mission d’expertise du château Duèze qui les attend
est des plus délicates : évaluation du foncier, état des stocks, estimation de
la récolte à venir… En dépit d’excellents millésimes, le château Duèze part à
vau l’eau. La vente est devenue inéluctable. Alors que Benjamin Cooker et
Virgile bouclent leur expertise dans une ambiance délétère se produit tout à
coup l’impensable. Un matin de mai, le vignoble de Duèze s’est paré de bleu,
comme quand on l’habille de bouillie bordelaise pour prévenir une attaque de
mildiou. Les fleurs, hier encore tendres et prometteuses, ne sont plus alors
que des fanes desséchées. L’acte de malveillance est patent. Qui est l’auteur
de ce massacre qui réduit à néant le futur millésime ? S’agit-il de futurs
prétendants à l’acquisition de ce fleuron de l’appellation ? Des voisins
jaloux ? À moins, qu’au sein de la famille Castelnau, la cupidité et la
jalousie n’aient eu raison des liens du sang…
Châteauneuf, cela fait plus d’une semaine que le mistral assèche la vigne et
échauffe les esprits. La mission d’expertise du château Duèze qui les attend
est des plus délicates : évaluation du foncier, état des stocks, estimation de
la récolte à venir… En dépit d’excellents millésimes, le château Duèze part à
vau l’eau. La vente est devenue inéluctable. Alors que Benjamin Cooker et
Virgile bouclent leur expertise dans une ambiance délétère se produit tout à
coup l’impensable. Un matin de mai, le vignoble de Duèze s’est paré de bleu,
comme quand on l’habille de bouillie bordelaise pour prévenir une attaque de
mildiou. Les fleurs, hier encore tendres et prometteuses, ne sont plus alors
que des fanes desséchées. L’acte de malveillance est patent. Qui est l’auteur
de ce massacre qui réduit à néant le futur millésime ? S’agit-il de futurs
prétendants à l’acquisition de ce fleuron de l’appellation ? Des voisins
jaloux ? À moins, qu’au sein de la famille Castelnau, la cupidité et la
jalousie n’aient eu raison des liens du sang…
S'identifier pour envoyer des commentaires.