- EAN13
- 9791031010519
- ISBN
- 979-10-310-1051-9
- Éditeur
- Les presses littéraires
- Date de publication
- 08/12/2020
- Collection
- Atelier génétique
- Séries
- Squares (2)
- Nombre de pages
- 100
- Dimensions
- 20 x 20 x 0,7 cm
- Poids
- 296 g
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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2 - Idées claires-idées noires
Idées claires/idées noires
Steve Golliot-Villers
Les presses littéraires
Atelier génétique
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Squares, Aphorismes graphiques, Aphorismes graphiquesSteve Golliot-VillersLes presses littéraires16,00
C'est une anthologie de dessins à l'encre noire, de formats carrés, abordant des sujet drôles ou graves, détournant parfois des œuvres classiques, créant à partir de références multiples : artistiques, politiques ou philosophiques.On a besoin du dessin. Ne dit-on pas qu’il est la probité de l’art ? Son intégrité reflète ainsi son créateur. Et il nous ouvre le champ des possibles… Bienvenue dans l’univers allégorique de Steve Golliot-Villers. Dans l’absolu, on a presque tous pratiqué le dessin à nos plus jeunes âges ; on en a ensuite tous visionné, dans une recherche perpétuelle d’évasion. Ces figures représentatives ou abstraites ont, depuis la nuit des temps, œuvré à l’expression. Une expression qui se doit d’être libre aujourd’hui, à l’heure sombre où des décapitations peuvent survenir pour un dessin jugé offensant. Notre temps est troublé, fragmenté, symptôme de nos sociétés malades qui semblent de moins en moins réelles. Aujourd’hui plus qu’hier, on a besoin d’un Steve Golliot-Villers. […] Les créations graphiques de Steve sont irrévérencieuses, bourrées de références à la culture (pop ou générale) mais pas que… La religion, l’histoire, la philosophie ou la sociologie sont aussi des domaines qu’il sonde à travers ses dessins, nous conduisant à nous faire réfléchir sur nos états de faits, et nos convictions. Érudit et curieux, Steve sous-titre son livre d’un « idées claires / idées noires », faisant ouvertement référence au travail de Franquin. Comme lui, il utilise le noir et le blanc pour s’épancher, avec un maniement nuancé de la largeur du trait, une souplesse dans les formes, jouant avec les profondeurs de champs et les cadres. Ces couleurs binaires l’épaulent dans l’exploration de son thème de prédilection : la mort… Et l’émanation du renouvellement… Son cycle sans fin. […].C. D.
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